Le confort pousse le Belge à investir dans une maison intelligente

Energie et développement durable

Ni la baisse de la consommation d'énergie ni la baisse des factures n'incitent les Belges à investir dans une maison intelligente. Le facteur le plus important est le confort personnel. Telle est la conclusion d'une étude représentative menée par Direct Research auprès de plus de 1.000 Belges, commandée par Somfy, spécialiste de la domotique.
Si des solutions intelligentes et automatisées pour la maison contribuent à ce confort, nos compatriotes ne sont que trop disposés à y investir. Parmi toutes les personnes interrogées qui avaient déjà un appareil intelligent à la maison, pas moins de 74 % ont indiqué que l'amélioration de leur confort était le motif le plus important. Que signifie le confort selon le Belge ? Ils ont une idée claire de ce qu'ils associent au confort dans leur maison. Pour 23 % d'entre eux, l'éclairage automatique offre une réelle valeur ajoutée. Les lampes qui s'allument et s'éteignent automatiquement répondent d'ailleurs à cela. 56 pour cent considèrent qu'une température agréable est une priorité.
Par exemple, un thermostat intelligent qui fait en sorte que votre maison soit toujours agréable et chaude quand vous en avez besoin. En plus du thermostat et de l'éclairage, les volets roulants automatisés et les stores contribuent au confort. Les Belges aiment aussi rester dans le salon, le cœur de leur maison. Pas moins de 75 pour cent des Belges considèrent le confort comme la question la plus importante.

Les Belges comprennent bien les intérêts écologiques et économiques de l'automatisation. Par exemple, 55 pour cent disent vouloir investir dans une maison écoénergétique, principalement parce que cela peut leur faire économiser beaucoup d'argent sur le long terme. Seulement 25 % investiraient pour l'environnement. Les chiffres contrastent avec la motivation des Belges qui ont déjà investi. Seulement 27 % l'ont fait afin d'avoir une maison plus économique sur le plan énergétique. Cela montre qu'il reste difficile d'investir efficacement à des fins de durabilité.